Bericht über die Feier am Freitag abend, von einem der überhauptgar nicht da war:
Bis ins ferne Allemagne hat es sich bereits herumgesprochen, was sich da im fernen France zugetragen hat. Ganz Ecully liegt in tiefem Schlummer. Ganz Ecully? Nein, nicht ganz Ecully; bis auf eine kleine, verschwiegene Allée, in der sich Specht und Amsel Gute Nacht sagen. In einer verschwiegenden Villa versuchen dort Nardix und seine Bande Desperados die Republique aus den Angeln zu heben, indem sie die nuit zum jour machen wollen. Rumpelix, der den Plan längst durchschaut hat, wird mit freedom fries zugestopft, bis seine Resistance in eine Retro-Verdauung übergeht und er nur noch vive la cotzage murmeln kann. Eine Collaborateuse des Regime regulaire wird am frühen Morgen enttarnt und mit Eau des Algues umgetauft. Ihr dernier cri hallt durch die restliche Nacht und ruft die Sappeurs auf den Plan. Und so ist im Morgengrauen wieder einmal eine Revolution francaise schmählich gescheitert, und der Tag der Sommersonnenwende soll in Zukunft zu einer weiteren Fête nationale umgewidmet werden, falls die Assemblée nationale bei der Abstimmung hierüber nicht gerade streiken sollte.
Eine Weisheit der Dakota-Indianer sagt: "Wenn Du entdeckst, dass Du ein totes Pferd reitest, steig ab."
...et ne lésinez pas sur la qualité !
>La scène qui suit a eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways
>entre Johannesburg et Londres.
>Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un noir.
>Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air :
>"Quel est votre problème, Madame?" demande l'hôtesse.
>"Mais vous ne le voyez pas donc pas? " répond la dame."Vous m'avez placée à
>côté d'un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres
>répugnants.Donnez-moi un autre siège."
>"S'il vous plait, calmez-vous", dit l'hôtesse. Presque toutes les place de
>ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible.
>L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard :
>"Madame, comme je le pensais, il n' y a plus aucune place libre dans la
>classe économique. J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a
>plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une
>place en première classe."
>Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air
>continue :
>"Il est tout a fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une
>personne de classe économique de s'asseoir en première
>classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait
>scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi
>désagréable."
>Et s'adressant au noir, l'hôtesse lui dit :
>"Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un
>siège en première classe vous attend."
>Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se
>levèrent et applaudirent...